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Retrouvez dans chacune des phrases ci-dessous les figures de style suivantes : l’hyperbole, l’euphémisme, la comparaison, la métaphore, la périphrase, la personnification, l’énumération ou l’antithèse.
De sa haute chambre parfumée sortit alors, Hélène, semblable à Artémis aux-flèches-d’or. (L’Odyssée d’Homère)
C'est une comparaison.
C'est une métaphore.
C'est une périphrase.
La route était déserte. En bas dans la petite vallée l’immobile serpent gris d’une rivière. (La route de Cormac McCarthy)
C'est une hyperbole.
C'est une énumération.
C'est une métaphore.
Le crapaud, sans effroi, sans honte, sans colère, / Doux, regardait la grande auréole solaire ; (« Le crapaud » de Victor Hugo)
C'est une personnification.
C'est une périphrase.
C'est une métaphore.
J’avais mal aux yeux à force de les tenir ouverts pour ne rien perdre du spectacle! Les lumières, les voitures, les tramways, les boutiques, les fontaines, les affiches, les halls des cinémas, des théâtres... (Cannibale de Didier Daeninckx)
C'est un euphémisme.
C'est une énumération.
C'est une antithèse.
A force de frapper à toute volée, nombre de leurs épieux se brisent ; alors ils dégainent plus de cent mille épées. (La Chanson de Roland)
C'est une hyperbole.
C'est une euphémisme.
C'est une métaphore.
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : « Tire la chevillette et la bobinette cherra. » (« Le Petit Chaperon rouge » de Charles Perrault )
C'est une périphrase.
C'est une métaphore.
C'est une personnification.
Ces mots ineptes claquèrent dans sa tête tels des draps mouillés au vent. (Je suis une légende de Richard Matheson)