Nombreux étaient, en ce temps-là, en Grèce et en Italie, les gouffres qui menaient aux Enfers, et point n’était besoin de battre sans fin la campagne pour en découvrir un. Le char du Soleil n’était pas encore à son zénith lorsque Iolaos, sur un signe d’Hercule, arrêta le sien près d’une large fissure dans le sol rocheux, d’où s’échappaient de légères fumerolles.
« Respire, mon neveu, dit Hercule tout réjoui. Ne sens-tu pas cette subtile odeur de soufre ? Nous y sommes. Attends-moi là, je n’en ai pas pour longtemps, par Apollon et Athéna qui me protègent ! »
Aussi tranquillement que s’il se fût dirigé vers une taverne des bas-fonds d’Athènes, Hercule s’enfonça dans le sol, son épée à la ceinture, tenant sa massue d’une main et une torche de résine de l’autre, pour ne pas se cogner la tête ou trébucher.

En ce temps-là, en Grèce et en Italie, les gouffres qui menaient aux Enfers étaient nombreux. Et il n’était pas nécessaire de chercher longtemps pour en découvrir un. Iolaos, sur un signe d’Hercule, arrêta son char près d’une large fissure dans le sol rocheux, d’où des fumerolles s’échappaient.
Aussi tranquillement que s’il s’était dirigé vers une taverne des bas-fonds d’Athènes, Hercule s’enfonça dans le sol, son épée à la ceinture, tenant sa massue d’une main et une torche de résine de l’autre, pour ne pas se cogner la tête ou trébucher.

Les gouffres qui mènent aux Enfers sont nombreux. Iolaos, sur un signe d’Hercule, arrête son char près d’une large fissure. Hercule s’enfonce dans le sol. Il tient sa massue d’une main et une torche de l’autre, pour ne pas se cogner la tête ou tomber.