Frérot prit sa petite sœur par la main et dit : « Depuis que notre mère est morte, nous ne connaissons plus que le malheur. Notre belle-mère nous bat tous les jours et quand nous voulons nous approcher d'elle, elle nous chasse à coups de pied. Pour nourriture, nous n'avons que de vieilles croûtes de pain, et le petit chien, sous la table, est plus gâté que nous ; de temps à autre elle lui jette quelques bons morceaux. Que Dieu ait pitié de nous ! Si notre mère savait cela ! Viens, nous allons partir par le vaste monde ! » Tout le jour ils marchèrent par les prés, les champs et les pierrailles et quand la pluie se mit à tomber, Sœurette dit : « Dieu et nos cœurs pleurent ensemble ! » Au soir, ils arrivèrent dans une grande forêt. Ils étaient si épuisés de douleur, de faim et d'avoir si longtemps marché qu'ils se blottirent au creux d'un arbre et s'endormirent
Frérot prit sa petite sœur par la main et dit : « Depuis que notre mère est morte, nous ne connaissons plus que le malheur. Notre belle-mère nous bat tous les jours et quand nous voulons nous approcher d'elle, elle nous chasse. Pour nourriture, nous n'avons que du pain. Que Dieu ait pitié de nous ! Si notre mère savait cela ! Viens, nous allons partir ! » Tout le jour ils marchèrent et quand la pluie se mit à tomber, Sœurette dit : « Dieu et nos cœurs pleurent ensemble ! » Au soir, ils arrivèrent dans une grande forêt. Ils étaient épuisés. Ils se blottirent au creux d'un arbre et s'endormirent.
Frérot dit à sa petite sœur : « Depuis que notre mère est morte, nous ne connaissons que le malheur. Notre belle-mère nous bat. Pour nourriture, nous n'avons que du pain. Viens, partons ! » Ils marchent tout le jour. Au soir, ils arrivent dans une grande forêt. Ils sont épuisés. Ils s’endorment sous un arbre
Dictée piste verte
Dictée à choix multiples
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Frérot dit à sa petite seur/soeure/sœur : « Depuis que notre mère est/et/ait morte, nous ne conaissons/connaiçons/connaissons que le malheur. Notre belle-mère nous bats/bat/bas. Pour nourriture, nous n'avons que du pain. Viens, partons ! » Ils marchent touts/tous/tout le jour. Au soir, ils arrivent dans une grande fôret/forêt/foret. Ils sont épuisés/épuiser/épuisait. Ils s’en dorment/s’endorment/s’endormes sous un arbre.