1. Soulignez en vert les propositions principales et en rouge les propositions subordonnées conjonctives.
a - Rabelais raconte que Gargantua est né par l’oreille de sa mère. b - Les sages-femmes pensèrent que c’était l’enfant. c - Loup Garou croit qu’il va occire Pantagruel. d - Les géants voient que Pantagruel est désarmé. e - Le marchand souhaite que Panurge lui paye au prix fort son mouton. f - Aristote affirme que le mouton est l’animal le plus sot du monde.
2. Relevez les propositions subordonnées conjonctives.
a - Le fils de Gargantua se doutait, sans en être sûr, qu’il gagnerait le combat. b - Panurge prétend qu’il lui achètera son plus beau mouton. c - Il arrive qu’on ait besoin du conseil d’un fou. d - Il est possible que son jugement soit le meilleur que l’on puisse trouver. e - Que Panurge ne l’écoute pas m’étonnerait beaucoup. f - Je garde l’espoir qu’il trouve une épouse qui ne le fasse pas cocu. g - Il ne s’attendait pas à ce que tout le monde lui déconseille le mariage.
3. Remplacez le complément d’objet direct par une proposition subordonnée conjonctives.
Exemple : Je vois ton étonnement → Je vois que tu es étonné.
J’attends l’arrivée du médecin.
Je veux le meilleur médecin pour toi.
J’ai remarqué le temps pluvieux.
Le médecin redoute l’affaiblissement de son patient.
Trois cents spectateurs attendent le début du spectacle.
Je vois Gargantua marcher vers nous.
Grandgousier souhaite sa réussite.
4. Conjuguez les verbes des propositions subordonnées conjonctives à un temps de l'indicatif ou du subjonctif.
a - Il se peut que la bataille (être) perdue. b - Il espère qu’il (remporter) la victoire. c - Pour gagner l’estime de tous, il faut qu’il (faire) de grands exploits. d - Le chevalier souhaite que (venir) les renforts. e - Je crois qu’ils (venir) à temps. f - Sans cela, il est à craindre qu’il (mourir).
5. En un tableau à deux colonnes, placez d’un côté les propositions subordonnées relatives, et d’un autre les propositions subordonnées conjonctives.
a - À la naissance, il cria qu’il voulait boire. b - Je me doute que vous ne croyez pas cette étrange nativité. c - Castor et Pollux sont nés d’un œuf que Léda a couvé. d - Le livre que Pline a écrit est plein d’histoires que l’on a peine à croire. e - Voilà la preuve que cette naissance n’est pas impossible. f - Que cet enfant est exceptionnel, nous le savons désormais tous.