1. Soulignez les propositions subordonnées.
a - Les deux frères dont je vous parle partageaient le même logis. b - Un homme qu’on disait très riche habitait près de leur maison. c - C’est chez lui qu’iront les deux frères. d - On entendit le bruit de la porte que les deux frères avaient ouverte. e - Le chien, qui avait pour nom Estula, est appelé par le fils du bourgeois. f - Le voleur dont l’intelligence était limitée répondit qu’il était là. g - Le fils fut convaincu que c’était le chien qui parlait. h - Il revient droit à la maison où il arrive tout tremblant.
2. Soulignez les propositions subordonnées. Relevez le mot subordonnant et donnez sa nature (pronom relatif ou conjonction de subordination).
a - Je dirai ici la matière d’un fabliau que je veux conter. b - Courtebarbe a fait ce fabliau ; je crois qu’il s’en souvient encore. c - Il advint que près de Compiègne suivaient leur chemin trois aveugles. d - Un clerc qui venait de Paris était suivi d’un écuyer à cheval. e - Le clerc, qui montait un beau palefroi, s’aperçoit que nul ne guide les aveugles. f - Il leur dit qu’il va leur donner un besant pour tous les trois.
3. Relevez les propositions subordonnées relatives ; entourez le pronom relatif, soulignez son antécédent.
a - Je vais vous raconter l’histoire d’une vieille qui avait deux vaches. b - Un jour, les deux vaches s’échappèrent, et le prévôt, qui les avait trouvées, les fait mener sans son étable. c - Ce prévôt, dont la méchanceté était connue de tous, refusa de les rendre à la vieille. d - La vieille femme, que cette histoire navrait, rencontre Hersant, laquelle lui conseille d’aller voir un chevalier. e - L’histoire que j’ai racontée vise les riches haut placés qui sont menteurs et déloyaux.
4. Relevez les propositions subordonnées relatives ; entourez le pronom relatif, donnez son antécédent. Enfin donnez la fonction du pronom relatif.
a - Un homme qu’un pêcheur avait sauvé de la noyade va se plaindre au maire qui lui fixe un jour pour l’affaire. b - Cet homme, qui avait perdu un œil par la faute du pêcheur, voulait obtenir réparation. c - Le jour venu, celui qu’on avait éborgné, parla le premier. d - L’autre répond qu’en voulant le sauver, il l’avait frappé d’un ustensile qu’on appelle un grappin. e - Les juges, dont l’intelligence était pourtant vive, demeuraient perplexes. f - Un bouffon passant par là leur dit : « Celui qui parla le premier, qu’on le remette à la mer, là où le grappin l’a frappé et s’il arrive à s’en tirer, l’autre devra l’indemniser » .
5. Relevez les propositions subordonnées conjonctives uniquement.
a - Jean le Galois nous raconte que dans le comté de Nevers demeurait un riche bourgeois. b - Ce bourgeois, un marchand qui était très chanceux, pensait que sa femme était la plus belle de tout le pays. c - La dame aimait fort son mari, mais il advint que le bourgeois prit une amie qu’il chérit et combla de robes. d - La dame s’en aperçut et dit à son mari que c’était un grand déshonneur pour eux, qu’il entretenait une garce.