1. Les principaux personnages sont Ambrosio et Mathilde.
2. Ils recherchent le diable désigné par les groupes nominaux « le démon » ou « l’ange déchu ».
3. Non, il ne ressemble pas au monstre que l’on pouvait craindre.
a) Ambrosio éprouve de la « surprise », de l’ « étonnement ».
b) Il est « enchanté » ; il le regarde « avec délice » et « admiration ».
4. Ce personnage est « un être plus beau que n’en créa jamais le pinceau de l’imagination ». Il est « d’une perfection incomparable », d’ « une splendeur éblouissante ».
5. Le personnage possède « deux ailes rouges ».
Ses yeux ont « une expression farouche » et inspire « une terreur secrète » et son visage exprime « une mélancolie mystérieuse ».
6. Ambrosio est effrayé. Le verbe « trembler » est répété deux fois. Ses joues et ses lèvres sont « pâles de frayeur » ; les mots « pusillanimité », « effroi », « un œil égaré », « un frisson », « terreur », etc. le prouvent également.
7. Ambrosio n’a plus peur lorsque le démon apparaît : il est « enchanté d’une vision si contraire à son attente ». En revanche, la beauté de ce personnage inspire tout de même « une terreur secrète ».
8. Cette histoire semble se passer dans un lieu souterrain. C’est un « lieu de sépulture ». Ils parviennent « à l’entrée de l’escalier souterrain » et pénètrent dans des « caveaux ».
9. L’histoire se passe la nuit, comme le montre le GN « la clarté de la lune ».
10. Les mots ou groupes de mots suivants montrent que les personnages sont plongés dans l’ « l’obscurité » : « avancer à tâtons », « une sombre et lugubre lueur », « les épaisses ténèbres », « une profonde obscurité ».
11. On peut relever les termes suivants : « sépulture », « souterrain », « des crânes, des ossements, des tombes et des statues » Ils sont décrits pour créer une atmosphère inquiétante, pour faire peur.
12. Ce texte est fantastique.
Dans le merveilleux comme dans le fantastique, un événement surnaturel survient. La différence est que dans le merveilleux l’événement surnaturel est considéré comme normal, il fait partie de l’univers du conte (les loups, les chats parlent ; les fées exaucent des vœux... ). Dans le fantastique, l’événement surnaturel provoque l’effroi. Il est considéré comme impossible, comme une intrusion irrationnelle dans le réel (voir « Le masque de la mort rouge »).
13. Il s’agit du roman noir ou gothique comme dans Les Mystères du château d’Udolphe.