Comme dans le premier chapitre de Vendredi ou la vie sauvage, vous effectuez un voyage (en bateau, en voiture, en avion, en train, etc.). Tout semble bien se passer, quand une catastrophe perturbe le bon déroulement des choses.
Racontez ce trajet suivi d’un accident en deux paragraphes, l’un racontant la tranquillité du voyage, l’autre brutalité de la catastrophe.
Faites deux parties, commençant chacune par un complément circonstanciel (« À la fin de l’après-midi du 29 septembre 1759 » dans le premier chapitre de Vendredi ou la vie sauvage, « À ce moment-là » dans le second).
Dans la première partie, utilisez l’imparfait de l’indicatif, donnez des détails (sur les personnages, sur ce qu’ils font, sur les lieux…) pour créer un effet de réel, avertissez le lecteur des dangers possibles, et exprimez l’incertitude (« il semblait » à la page 9, mais aussi « peut-être », « paraître »…) liée au transport utilisé.
Dans la deuxième partie, utilisez le passé simple de l’indicatif. Le vocabulaire doit souligner la brutalité de l’accident (« violent », « formidable », « gigantesque »). Donnez du rythme en rédigeant des phrases courtes.